« Because days come and go but my feelings for you are forever. » Papa Roach

J'avais passé une semaine plutôt calme et sympa mais on ne peut pas le nier, le vendredi est une journée affreusement longue. C'est bientôt le week-end, on est fatigué de notre semaine, le temps passe trop lentement ce jour là, c'est plutôt infernal... Mais en gars supra-hypra-zen que je suis, je gère ça à la perfection ; c'est tellement tout un art d'être moi. Il n'y a que moi qui peut m'excuser d'avoir mis du temps à trouver mon peigne alors que ça saute franchement aux yeux que je n'en ai absolument aucune utilité... C'est pas de ma faute, hein, je dis ce qui me vient en premier, même si ce n'est pas toujours la chose la plus intelligente et logique à sortir. Ce n'est pas grave, mes élèves me pardonnent toujours parce que du un : je les fait rire et de deux : je suis sympathique avec eux. Bon, je ne plais pas particulièrement aux petits intellos en herbe, eux, ils ne peuvent pas me sentir... Mais que voulez-vous ? On ne peut pas plaire à tout le monde ! De toute façon, ceux-là sont assez doués pour s'en sortir sans que je ne sois collé derrière eux pour les aider... Ah, il y a aussi celles - oui, ce sont des filles - qui me font les yeux doux et me prient pour que je les aide... Rah, elles sont tellement mignonnes ces demoiselles ; je ne peux jamais leur résister malgré le fait que je sois absolument au courant que ce n'est qu'une technique pour que je sois près d'elle. Comme cette manière qu'a la jeune Queeryn pour m'attirer à elle autant qu'elle le peut.
On peut vraiment dire que le week-end va me faire du bien, du repos, du calme... Enfin ! Je vais pouvoir flemmarder tranquille devant ma télé ! Youpiii ! Joie ! Bonheur ! Oh oui ! Euhm... Je pense que vous avez compris et que ce n'est pas la peine que j'improvise une petite danse là, maintenant, de suite. J'hésite un peu à me ridiculiser... Je le fais assez souvent, j'ai eu ma dose de bêtise pour la semaine, il me semble bien, hein. Du coup, vu que je suis heureux et que vous l'avez compris, nous allons avancer un peu pas vrai ?
Je pris mes affaires et sortis de l'école, saluant gentiment des collègues qui allaient certainement se mettre à cancaner sur moi une fois que je serais sorti ; je m'en fiche, vraiment. S'ils ne m'aiment pas tant pis, j'avance sans qu'ils me portent dans leur cœur ; ça me le brise beaucoup moins que quand c'est mes élèves qui me font des reproches.
Je décidai d'aller me promener dans le quartier Downtown Chicago - oui, celui où j'habite - car ça fait déjà un bout de temps que je n'ai plus pris le temps de me promener. Je me demande si certains de mes voisins ont changé ? Je ne sais pas, je ne traîne pas trop du côté des habitations, là. Plutôt dans une rue, il n'y a pas grand monde mais c'est tant mieux. Lorsque je levai les yeux un instant pour regarder autour de moi, ils se posèrent immédiatement sur une magnifique blonde qui fit accélérer les battements de mon cœur. Eilwen... Et là, j'hésitais entre m'évanouir ou alors me jeter sur elle. Mais au lieu de choisir l'un ou l'autre, je restais planté là, bouche bée et penser que ce n'était pas pour moi qu'elle était là me ferait trop mal... Alors j'évite de me dire ça.
Je me mordis un instant la lèvre inférieure, sentant mon cœur se serrer un peu. Je m'avançai lentement vers elle et me plantai face à cette belle princesse, lui prenant la main des deux miennes.

« Eilwen... Je suis heureux de te revoir. Comment vas-tu ? ... Ça fait tellement longtemps. »

Je glissai une de mes mains sur le côté de son visage, mon pouce venant effleurer tendrement la peau douce de sa joue. Lentement, j'approchai mon visage de sa tête pour déposer mes lèvres sur son front comme je le faisais si souvent avant.

« Tu es magnifique... »

J'avoue que là, je suis limite à deux doigts de me mettre à pleurer. Je ne sais pas si c'est la joie de la revoir, la douleur de la rupture qui revient, le semblant d'espoir qui s'anime en moi d'un coup... Ou un mélange de tout ça, mais vraiment, mes émotions sont très fortes là.

Je suis arrivé a Chicago depuis deux jours, cela fait très bizarre de retrouver le quartier ou j'avais vécu plus de dix ans. ce qui était encore plus étrange c'était le fait que Zakkarian vivait ici, je reconnaitrais notre ancienne maison entre mille un vrai petit nid d'amour confortable et chaleureux. j'aurais pus y vivre toute ma vie....j'aurais dus.

En ce vendredi matin j'avais ma première classe dans ce lycée si particuliers, je sais c'est étonnant de commencer à travailler un vendredi. en temps normal j'aurais dus commencer le lundi suivent, officiellement mais malheureusement la personne que je devais remplacée fut coulée au lit par une mauvaise grippe. Evidemment je n'y ai pas vraiment cru mais bon peu importe j'étais disponible alors en voiture !!! Jetons nous dans la gueule de ses requins sadique qu'étaient les adolescents de nos jours.
L'effet que je fait en entrant dans la salle de me surprend guère non pas que je soit narcissique mais je me savais plutôt jolie j'ai des longues jambe et les cheveux blonds, Barbie quoi. et les pensée des jeune mâles de la classe m'exaspère déjà.

« Non monsieur Walker je ne ferais pas de strepteas sur mon pupitre. »

D'un coup tout le monde c'est tus. J'adore l'effet que ça fait. Je me présente mais ne parle pas de mon don ça risquerais de les perturber que je puisse savoir qu'il pense a des truc qui n'ont rien à voir avec la matière enseignée. Pourtant les ados on tendance à oublier que leurs profs, eux aussi on été ado, c'est d'ailleurs une période de ma vie que je vais regretté je le sais.
Je ne travaille que le matin le vendredi ce qui n'es vraiment pas plus mal. Je salue donc les collègue que je vois puis m'en vais avec la ferme attention aujourd'hui d'aménager mon jardin à l'irlandaise. J'avais de la chance mon gazon était déjà bien vert, parfait ! J'ai sorti de ma maison les chaise et les table en fer forgé noir Je pose la nappe blanche et sors mon lutin irlandais c'est un protection pour le foyer et un porte bonheur. Je le pose vers l'entrée de mon jardin. je me rappelle comme Zakkarian ce fichais de moi avec mon lutin. Il le trouvais très moche. Bon c'est vrai que il n'allais pas gagné un concours de beauté mais je trouvais qu'il avais vraiment une bouille sympa.

Lorsque je termine de planté mes petites fleurs il dois être dix-sept heures passé. je me redresse plutôt contente de moi sortant dans la rue pour voir l'effet que mon petit jardin faisait par rapport a ceux des autres. je suis incroyablement satisfaite. c'est alors que :

« Eilwen... Je suis heureux de te revoir. Comment vas-tu ? ... Ça fait tellement longtemps. »

Il est arrivé comment lui, je l'ai même pas vu arrivé et avec lui arrive ses fameuses pensée embrouillée qui n'ont pour la plus part du temps ni queue ni tête. Il venais de prendre mes mains dans les sienne limite s'il ne me les embrassais pas d'ailleurs. Je me sens affreusement cruche et pas du tout a mon avantage je dois sentir le terreaux et la transpiration ça doit être quelque chose de.... unique. Il viens me caresser la joue et me fait même THE bisou c'est le premier bisou qu'il m'a fait quand j'ai accepté de sortir avec lui depuis c'est mon bisou préféré. venant de lui bien sûr.

« Tu es magnifique... »

Non de dieu s'il pleure je le frappe il a intérêt à se gaffer ! Je fit un petit sourire coin observant mon t-shirt tâché et mon short dans le même état et j'imagine que ems cheveux de doivent ressembler à plus rien.

« Bonjours Zakkarian...je me doutais qu'en revenant ici je te retrouverais toi et tes pensée toujours aussi désordonnées .»

C'était un jeun entre nous il avais très souvent les pensée désordonnée parce qu'il pensait à trop de chose à la fois du coup j'adorais remettre de l'ordre point par point et c'était toujours "faire l'amour avec ma copine" qui prenais le point numéro un. en me rappelant ça j'étouffe un petit rire.

« Vivo per lei perché mi fa vibrare forte l'anima. » Andrea Bocelli

Peut-être qu'elle est sale et un peu mal coiffée à cet instant, mais pour moi Eilwen reste la plus belle des femmes. Et ce depuis la première fois que j'ai posé les yeux sur elle. Des femmes, j'en ai trouvé des très belles, mais jamais comme je la trouve belle, elle. Jamais et lorsque j'étais en couple avec elle, je ne me priais pas pour le lui faire remarquer avec des tas de compliments. Si je n'ai jamais trop roulé sur l'or, elle était au moins gâtée avec de la gentillesse et de l'amour... Il se peut bien que ça soit ça qui l'ai lassée au bout d'un moment ; je ne lui faisais pas assez de cadeaux... Pas les moyens financiers, malheureusement. Je ne suis peut-être pas assez bien pour elle, finalement... Mais je la veux, elle est à moi, elle est faite pour moi ; je le sais et j'en suis plus que certain. Je veux qu'elle revienne, bordel !

« Bonjour Zakkarian... Je me doutais qu'en revenant ici je te retrouverais toi et tes pensées toujours aussi désordonnées .»

Au moins, même si c'est pour quelque chose qu'elle me reproche, elle a pensé à moi. C'est plutôt positif, non ? Allez, pitié... Il me la faut, elle me manque tellement ma Eilwen.
Je lui adressai un sourire aussi confus que mes pensées tout en me frottant la nuque. On me dit souvent que j'ai l'air con lorsque je fais cela... Mais j'en suis un de toute façon. C'est forcément le cas, sinon elle ne m'aurait jamais quitté, n'est-ce pas ? Même si c'est possible que je ne sois pas assez bien ni assez riche, je ne peux quand même pas me résoudre à la laisser. J'ai pas envie.

« On se refait pas, hein ? » lui répondis-je, calmement.

Je ne pouvais me résoudre à la quitter des yeux. On ne sait jamais, si elle disparaissait soudainement ? Ce serait une catastrophe, une véritable catastrophe... La fin du monde - enfin, du mien. Je lâchai enfin sa main, doucement et jouai avec une de mes dread-locks, nerveusement. Ça allait sortir, je n'allais pas pouvoir fermer ma bouche encore longtemps, elle me connaît assez bien pour comprendre que, lorsque je me mordille la lèvre comme ça avec ce regard de stressé, c'est que j'ai quelque chose à dire mais que je me retiens. Je vais le dire... Il le faut, je dois tenter ma chance.

« Eilwen, chérie... dis-je en plantant mon regard dans le sien et posant mes mains sur ses épaules, S'il te plais, donne moi une autre chance, j'ai besoin de toi, il me manque la moitié de mon être sans toi. Si tu veux je me mets à genoux, je te supplie... Eilwen, je t'en prie... On est fait pour être ensemble toi et moi... Reviens, je veux vivre avec la femme de ma vie et c'est toi... »

Je la fixai, attendant une réponse, une réaction... Un sourire, une claque, n'importe quoi. Je posai un genou à terre pour mettre à exécution ma proposition de me mettre à genou pour elle. Et la fierté ? Je m'en fous, je n'en ai plus lorsque c'est elle... Je pourrais faire n'importe quoi pour Eilwen.

« Reviens. » insistai-je encore une fois.

Lui est moi, moi et lui... une histoire qui au fond de moi je savais interminée. Il est fou amoureux de moi et l'éloignement, je le remarque, n'a fait que renforcer ses sentiments. Mes yeux croisent les sien alors qu'il lâchait ma main pour jouer nerveusement avec l'un de ses dread lock. Il veut parler, me dire quelque chose mais il a l'air de pas oser. Je fais un petit sourire encourageant. Il n'avais vraiment pas changer, toujours aussi séduisant physiquement mais surtout mentalement. Grâce à mon don je peux cerner les gens très vite et sa personnalité est unique, sincère gentil...parfait pour moi. Et pourtant j'ai peur.

« On se refait pas, hein ? »

J'ai une petit rire, non en effet et tant mieux, sincèrement tant mieux il est tellement bien comme cela ce garçon

« Tant mieux, imagine si les gens pouvais changer du jour au lendemain se serais dommage »

Mais cela dit je voyais bien que ce n'était pas cela qu'il voulait me dire. Je prends sa main pour l'encourager à me parler. Il se sentirais sans doute mieux après non ? Enfin pour moi c'est toujours comme ça. Et j'arrive même pas à deviner ses pensées c'est tellement le bordel dans sa tête.

« Eilwen, chérie... S'il te plais, donne moi une autre chance, j'ai besoin de toi, il me manque la moitié de mon être sans toi. Si tu veux je me mets à genoux, je te supplie... Eilwen, je t'en prie... On est fait pour être ensemble toi et moi... Reviens, je veux vivre avec la femme de ma vie et c'est toi... »

Il se mets vraiment à genou je me sens un peu gênée du coup je me mets à genoux aussi et le relève alors qu'il murmurais un dernier "reviens" d'un air désépéré Je l'embrasse sur le front le faisant entrer chez moi parce que j'ai pas envie que ma vie sentimentale soit étalée dans tout le quartier. Je le fais assoir sur mon canapé l'heure des vérités difficile à sonnée

« Zakky, si je t'ai quitté c'est pas que je t'aimais pas mais en fait j'ai eus peur. parce que j'ai vu qui tu pensais me demander en mariage et ça m'a fait peur. Je suis désolée de t'avoir abandonné de cette manière tu ne méritais pas d'être traiter comme cela. »

Je m'étais assise près de lui sur le canapé en gardant sa main dans la mienne.

« Je regrette. »

« It's empty and cold without you here. » Avenged Sevenfold

« Tant mieux, imagine si les gens pouvais changer du jour au lendemain se serais dommage »

Elle dit ça mais moi j'ai déjà changé du jour au lendemain par le passé ; j'en ai pris la décision et je n'ai jamais lâché tout ça pour fuir la pression. Je suis comme ça, un lâche sûrement, mais je n'aime pas les prises de tête, c'est trop chiant. Elle me connaît, je suis très désordonné parce que je ne prends pas la peine de me fatiguer à m'organiser, mettre tout en ordre. Je m'en sors très bien comme je fais alors à quoi bon ?!
Je me suis laissé relever en silence et ai suivi Eilwen dans sa maison. Je jetai un regard très bref autour de moi, un peu curieux de savoir à quoi ressemble l'endroit où vit la femme que j'aimais et que j'aime toujours. Mon regard se repose sur elle et à partir de ce moment, je la fixe tout en m'asseyant sagement sur le canapé. Elle va parler... Qu'est-ce qu'elle va me dire ? Qu'elle a quelqu'un d'autre ? Qu'elle ne veut plus de moi ? Qu'elle me hait pour ce que je lui ai fait ? ... Qu'est-ce que je lui ai fait déjà ? Je l'écoutai alors attentivement comme je le fais très, très rarement. Je veux tellement savoir pourquoi elle est partie.

« Zakky, si je t'ai quitté c'est pas que je t'aimais pas mais en fait j'ai eu peur. parce que j'ai vu que tu pensais me demander en mariage et ça m'a fait peur. Je suis désolée de t'avoir abandonné de cette manière tu ne méritais pas d'être traiter comme cela. »

Je lui lançai un regard triste avant de baisser les yeux... Pourquoi elle est partie pour ça ? Je passai ma main libre sur mon visage en laissant un léger soupire m'échapper. Non je ne lui en veut pas. Je ne pourrais pas lui en vouloir ; je l'aime bien trop pour ça. Puis si elle a paniqué ce n'est pas de sa faute, elle n'est pas partie pour se montrer méchante, elle n'est pas comme ça et c'est pour ça que je l'aime tant. Elle est gentille ma Eilwen, je le sais parfaitement. Et moi ? J'ai toujours eu le pardon très facile, peut-être trop par moment, mais il n'est pas question de ça à l'instant.

« Je regrette. »

Je relevai les yeux vers elle. Vraiment ? Elle regrette ? Est-ce que ça veut dire que l'on pourra se remettre ensemble ? Je le souhaite plus que tout, je ferais n'importe quoi pour qu'elle me revienne et surtout qu'elle me reste. Je n'ai plus envie de me passer d'elle maintenant que je l'ai retrouvée. Et si elle me dit non ? Je retenterai ma chance quand même, autant de fois qu'il le faudra... Jusqu'à ce qu'elle me déteste.

« Pourquoi tu ne me l'a pas dit ? J'ai cru que j'avais fait quelque chose de mal... J'aurais attendu que tu sois prête, même toute ma vie s'il le fallait. Et si tu aurais refusé catégoriquement de te marier, j'aurais fait sans. Je t'aimais et je voulais juste qu'on reste ensemble tous les deux et pourquoi pas avoir des enfants. »

Je ne cherchais absolument pas à la faire culpabiliser, loin de moi cette idée, mais j'avais besoin de lui dire ça, d'exprimer un peu mon sentiment. Je mêlai ses doigts au siens et lui caressai le dos de la main avec mon pouce.

« Je t'aime toujours autant, voir plus qu'avant, Eilwen. Tu me manques affreusement. »

C'est vrai, je regrettais affreusement ce que j'ai fait. Ce n'était absolument pas correcte envers ce garçon que j'aimais tant.. plus que tout. A l'époque je me rappelle que j'aurais été prête à mourir pour lui j'étais si accros j'avais besoin de lui. Après tout on c'est mis ensemble très jeune du coup c'est vrai que il m'avais beaucoup protégée et couvée. Je ne suis plus comme cela à présent, maintenant je sais que je peux me débrouiller sans lui c'est monstrueux de dire cela mais vouloir est plus fort que pouvoir. Et depuis dix minutes je me rends compte que je suis prête que j'ai envie de passer le reste de ma vie près de lui, dans ses bras... Ses bras qui..n'ont tenu "presque" que moi.. OH mon dieu et s'il avais tenu une autre fille durant notre séparation !!! Je sais pas mais d'un coup la jalousie monte en moi comme le magma d'un volcan avant son explosion. Je serre doucement sa main.


« Pourquoi tu ne me l'a pas dit ? J'ai cru que j'avais fait quelque chose de mal... J'aurais attendu que tu sois prête, même toute ma vie s'il le fallait. Et si tu aurais refusé catégoriquement de te marier, j'aurais fait sans. Je t'aimais et je voulais juste qu'on reste ensemble tous les deux et pourquoi pas avoir des enfants. »


Je baisse la tête, coupable le laissant me caresser le dos avec douceur je me pince la lèvre inférieur. Il était tellement gentil je paraissait d'être une vraie garce à côté. Mon coeur accélère doucement et je ressens à nouveau cette chaleur dut à la présence de l'être aimé, ce rayon de bonheur qui nous envahit mélangé à la précédente phase de jalousie qui doucement s'évanhouit pour laisser ce halo m'envahir entièrement mais ce qu'il m'avoue me fit voir la vie en rose... (fait cliché tout ça quand même ><)

« Je t'aime toujours autant, voir plus qu'avant, Eilwen. Tu me manques affreusement. »

« Je t'aime toujours Zakky, plus que tout et tu me manque aussi, je sais maintenant que je peux vivre seule mais je n'ai pas envie plus envie de me passé de toi une seule seconde tu es mon ptit soleil à moi... »

Je m'approche doucement effleurant son nez du mien alors qu'il m'embrassait tendrement, c'est le meilleur deuxième premier baiser de toute ma vie, en même temps c'est le seul x)